• Mad World, inner voices

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    Auteur : Otsuichi

    Dessinateur : Hiro Kiyohara

    Genre : Seinen, sf, histoires courtes, social, drama

    Volumes : 3 (série terminée)

    Edition : soleil manga

    Année : 2007

     

    Résumé (vol 1)

    Aihara voit passer sa jeunesse dans un isolement conditionné par

    sa timidité. Elle rêve d'avoir un téléphone portable, depouvoir

    communiquer avec des gens, de partager son existence, ses envies

    ses peines. Durant un cours, elle perçoit dans sa tête une sonnerie

    de téléphone semblable à celle qu'elle rêverait d'utiliser dans ses

    songes. En décrochant, elle entre en communication avec un jeune

    garçon Nozaki, doté de la même capacité qu'elle.

    Ainsi va se nouer une amitié à traver le temps et l'espace mais dont

    le destin est très incertain...

     

    Mon avis,

    ce premier volume nous montre une phénomène social,

    celui de ne pas être dans la norme si on a pas de téléphone.

    Aihara est d'une timidité maladive mais grâce à Nozaki et

    à une autre personne bien mystérieuse elle va prendre les

    devants. Cette histoire est touchante et peut parler à beaucoup

    d'ados. La fin est triste mais d'une certaine façon assez belle.

    Ce manga nous parle d'un malaise social mais aussi d'une belle

    amitié entre deux jeunes gens via un téléphone imaginaire...


     

    Résumé (vol 3)

    Keigo et Asato fréquentent une école spécialisée. Depuis leur plus tendre enfance,

    ils subissent la violence et la cruauté du monde des adultes et ils semblent s'enfermer

    de plus en plus dans leur carapace. Jusqu'au jour où Asato découvre qu'il possède un

    incroyable don de dieu : il est capable de soigner les blessures des autres. Mais ces

    plaies, c'est l'enfant qui doit désormais les supporter...


    Mon avis,

    en voyant la couverture je m'attendais à lire

    l'histoire d'un "enfant tueur". Mais c'est tout le

    contraire. Keigo est certes violent mais jamais pour

    rien. Le thème abordé est assez dur mais on entre

    jamais dans le tragique et ça se finit bien :)

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